Et j'ai aussi terminé Dragon Quest 4 l'Épopée des Elus sur DS. Ce n'est que mon deuxième DQ, (avec le détestable 9) donc je n'aurais pas trop d'éléments de comparaisons. Il en ressort un jeu sympa, avec une structure étonnante, mais diablement efficace qui est de mettre d'abord en avant les personnages secondaires, via des chapitres qui leur sont consacrés, où, le temps de quelques heures, c'est l'un d'entre eux qui prendra le rôle de "héros de l'aventure". Cela nous permet de nous attacher à eux, et de mieux comprendre leurs objectifs personnels pour la suite.
Car, ce qu'un peu avant la moitié du jeu, qu'on nous permet de prendre en main le véritable héros du titre, qui devra d'abord réunir les sept autres élus, que nous avons rencontré dans les anciens chapitres, pour que tous ensembles ils aillent affronter le mal. Une histoire assez classique en somme, mais avec un antagoniste beaucoup moins manichéen que ce qu'on pourrait croire au premier abord, et avec une vraie personnalité.
Malheureusement par contre, ce sont les héros qui manquent cruellement d'émotions. Certes on se plait à les jouer une première fois, puis à les retrouver pour la quête finale, mais ceux-ci sont beaucoup trop discrets. Si le héros ne prononcera pas un seul mot, ce ne sera que guère mieux pour ses acolytes dont le nombre d'intervention se compte sur les doigts d'une main. Malgré tout le jeu a un charme de JRPG à l'ancienne indéniable, qui nous poussera sans grande peine au bout de l'aventure, et qui malgré ses défauts, arrive quand même étonnamment à proposer deux moments plutôt forts en émotions. Même si cela est trop peu pour l'intégralité de l'aventure pour en faire un jeu mémorable.
Le gameplay enfin rapidement, est somme toute classique, mais renferme une particularité sympathique. Comme dans Golden Sun Obscure Aurore, on a un total de 8 personnages pour un maximum de 4 au combat en même temps. On peut donc switcher entre la réserve et le champs de bataille selon l'évolution du combat. Mais c'est dommage que cela ne soit possible que sur la world map et pour le dernier boss, qui se révèle donc un combat très cool à faire. Le jeu aurait gagné à permettre cette option pour ses autres boss, afin de booster le rythme des combats.

Un JRPG à l'ancienne donc, assez classique et loin d'être inoubliable, mais qui a su briller par moments.

13/20

Petite mise à jour de mes jeux terminés dernièrement, et je sais déjà que je vais m'attirer les foudres d'au moins une personne pour un de mes avis

On va commencer par celui qui fera le plus débat, comme c'est celui que j'ai fini en premier. Il s'agit de Fire Emblem Fates, que j'ai pour l'instant fait uniquement dans sa version conquête. Et je vais pas tourner autour du plat plus longtemps, j'ai tout simplement adoré. J'avais au départ au départ peur d'une trop grande similarité avec l'épisode précédent qu'est Awakening, et que celui ci se révèle donc sans identité, mais il n'en est rien. Seule la base technique est conservée, avec une modélisation en 3D avec le moteur du jeu (un peu vieillissant en 2018 je le concède) pour les phases de dialogues hors cinématiques. C'est selon moi ce qui va le mieux à la licence pour donner vie aux échanges entre les personnages ; et je ne comprends pas d'ailleurs qu'ils n'aient pas réutilisé cette formule pour Echoes, qui se contentaient uniquement de bulles de dialogues. Par contre ce dernier était intégralement doublé, ce qui etait un vrai plus qu'il manque à ce Fates.

Coté gameplay, pas de changement majeur, mais on récupère les atouts d'Awakening en réajustant ses faiblesses. On retrouve donc ici un nombre colossal de classes, chacune avec ses spécificités, qui nous permet de n'avoir que des personnages avec une classe propre. Et ce, bien qu'étant sur Conquète, alors que presque la moitié des classes, exclusives à l'autre armée, m'était inaccessible ! Le système de duo est également revu, on se retrouve ici face à une vraie composante de gameplay, désormais également accessible à l'ennemi, qui se rajoute à toutes les autres, et avec laquelle il faut jongler entre duo offensif et duo défensif pour venir à bout de vagues d'ennemis, souvent acharnés. Car cette version Conquète n'est vraiment pas évidente, on est lachés comme dans les premiers épisodes dans une aventure avec exp et or limités (impossibilité de farmer en dehors des missions proposées), mais surtout car beaucoup de missions se révèlent vraiment ardues ! Et encore je n'étais qu'en difficile, je n'ose imaginer la difficulté au dessus. Des points de sauvegardes auraient juste peut être été souhaitables pour quelques missions, comme on en a dans Shadow Dragon. Absolument pas pour casualiser le titre, mais il y a des chapitres qui peuvent durer plus d'une heure, qu'à force de refaire on connait par coeur, et c'est juste rageant de devoir recommencer depuis le début à cause d'un coup critique à 3% de probabilités juste avant le boss alors qu'on maitrise complètement tout le début de la bataille.
D'ailleurs je pense qu'il y a un coup de gueule à passer pour la toute dernière mission, ou plutot les 2 dernières car on nous demande de les enchainer sans pouvoir sauvegarder entre. Heureusement me direz vous, la première est plutot facile (quoique un peu longue), mais c'est surtout que ça a juste réussi à me dégouter de cette avant dernière bataille, qui autrement aurait été mémorable. C'est une mission avec beaucoup d'enjeux, d'émotions, mais aussi dans sa structure même qui avait une dimension épique, et tout cela est gaché par notre lassitude de l'obligation de la faire pour la 30e fois alors qu'on la déjà terminé et qu'on la connait par coeur.

Et c'est vraiment dommage car en dehors de ça, l'aventure je l'ai adorée. Que ce soit l'histoire, ses personnages, ses enjeux, ses émotions. Après j'entends qu'elle ne fait pas l'hunanimité, mais ça n'enlèvera rien au fait qu'elle m'a vraiment transporté.

Enfin les soutiens sont également présents, et c'est une bonne chose selon moi, car ils permettent d'approfondir la personnalité des personnages secondaires, qui vont nous accompagner pendant des dizaines et des dizaines d'heures, et c'est essentiel pour s'attacher à eux. Après j'aimerais qu'il y en ait plus de disponibles, car même si leur nombre est plus que conséquent, le concept sera porté au bout quand n'importe quel personnage peut se lier d'amitié (ou d'amour) avec n'importe quel autre. Par contre malheureusement il y a le retour des enfants, qui si ils étaient compréhensibles dans Awakening au vu du scénario, ils n'ont strictement rien à faire dans Fates, leur présence n'ayant même aucune cohérence si l'on se penche sur la question quelques secondes.

Mais voilà, on se retrouve devant un jeu qui sur le plan technique s'aligne avec l'opus précédent pour ses bons aspects, tous en rectifiant ses cafouillages. Alors bien sur celui ci renferme ses propres errances, mais rien de tout cela n'influencera significativement sur ce qu'il m'a fait ressentir. Une aventure qui restera grandiose pour moi, malgré cette dernière mission pour qui, au final même pour elle, je ne retiens que les bons souvenirs, malgré les crises de nerf qu'elle m'a donné Et donc au final, ses défauts n'étant pas si nombreux et ses qualités si puissantes à mes yeux, je lui donne sans hésitation 17/20.

Je comprends ce que tu veux dire, mais ça empêche que je trouve que c'est un manque de respect pour l'oeuvre qui a été créée. Peut être qu'il y a des manqués, et un remake est toujours envisageable pour tenter de les gommer, mais certainement pas 2 ans après et encore moins sur mobile.

Oui de ce que j'ai lu c'est pas le fait d'une non-refonte qui a été critiqué, mais ce filtre qui enlève son cachet pixel art au jeu. Après j'ai pas vu concrètement ce que ça donnait, j'ai juste eu des échos.

Tennee, le 25 February 2018 à 20:54, dit :

Non tu rigoles ? Je trouve l'édition pocket honteuse qui décridibilise complètement le jeu de base. Pour moi un jeu vidéo ce sont des choix artistiques, aussi bien dans le visuel, que dans le scénario ou le gameplay. Or dans cette pocket edition seul le scénario est respecté. C'est comme si demain un peintre avait la prétention de sortir une immense toile, ça fait beaucoup de bruit, et 2 ans plus tard il sort le même tableau en version rétrécie. C'est ne pas respecter son oeuvre.

Et comme tu le dis, la décision éditoriale de SE est assez critiquable quant à ce FF15. Décliner encore et toujours son jeu (jeu de pêche en VR, pocket edition, des DLC incessants), on sent qu'ils veulent le rentabiliser à fond, mais nous ça nous dégoute plus qu'autre chose à force, les joueurs seraient plus heureux de l'annonce de FF16.

Tennee, le 25 February 2018 à 20:54, dit :

C'est ça je pense être gagnant dans tous les cas, avec au pire une edition de base + DLC pour un prix inférieur ou à peu pres equivalent à la royale edition. Mais si je ne suis pas plus intéressé que ça par l'univers, j'ai juste une edition standart peu chère, sans oublier que je suis pas obligé de prendre tous les DLC (le multi coop par exemple je sais déjà que je m'en fiche).

J'ai terminé récemment Of Orcs and Men et Assassin's creed 2 sur xbox 360, ainsi que Kona sur Xbox One

Pour le premier d'entre eux, Of Orcs and Men un jeu sympa, qui se laisse très bien suivre, mais sans jamais être complètement extraordinaire non plus. On est face à un univers déjà vu : les hommes et les orcs se battent sans merci dans une lutte de domination de l'autre espèce, sauf que pour une fois, la race sauvage assoiffée de sang n'est pas les orcs, mais bien les hommes. On a deux personnages principaux : Styx et Arkaïl, mais on en rencontre tout de fois pas mal d'autres qui ne sont pas désagréables : Le Singe, Azek et Arkence pour ne citer qu'eux. Pour revenir aux protagonistes, on a d'un coté le guerrier plein de remords traînant un lourd passé, et le bout-en-train qui détend l'atmosphère avec sa manière très trash de parler. D'ailleurs mention particulière aux doublages intégralement en français, et même si pour Arkaïl ça n'a rien d'extraordinaire ( mais pas mauvais non plus), celui de Styx est en revanche très bon, ce qui accentue d'autant plus ses blagues, qui à quelques moments m'ont faite bien rire. Sinon pour ma part j'ai trouvé j'ai la durée de vie parfaite, environ 12-13h je dirais, car bien qu'elle ne soit pas bien longue, je la trouve pour ce jeu parfaite pour nous lâcher en s'étant amusés avant qu'on s'ennuie : plus long aurait sans doute été ennuyant, et plus court un peu abusé car sinon le contenu aurait été très limité.
Seul gros point noir, une hitbox complètement cassée. En fait la hitbox se calcule lorsque l’attaque est engagée, pas lorsqu’elle est assénée. Donc je me suis déjà retrouvé à 3 mètres de mon adversaire, mais recevoir les dégats de son coup d’épée dans le vide …

Donc en fait le souci avec ce jeu c'est que c'est très difficile de donner envie d'y jouer, mais ça l'est tout autant de le casser. Rien n'est purement exceptionnel, mais rien n'est mauvais non plus (hormis cette hitbox). Bien que l'univers soit au final très peu exploité (on a qu'une seule grosse révélation aux 2/3 de l'aventure), on se laisse très facilement porter tout du long. Je me suis même surpris à regretter qu'il n'y ait pas de suite une fois le jeu terminé, ce qui au final prouve que c'était quand même bien.

13/20

Ensuite Assassin’s Creed 2, ce sera assez rapide, il fait tout en mieux que son prédécesseur : des missions variées plus portées par la narration, une augmentation des possibilités d’approches discrètes avec des nouvelles techniques d’assassinat (mais modèle toujours perfectible en pratique), le parkour plus précis (mais toujours pas parfait non plus), l’importance de notre tache qui prend de l’ampleur, on comprend mieux les tenants et aboutissant des deux causes ennemies. Mais surtout selon moi, ils ont réussi à donner une épaisseur incroyable à son héros du jeu précédent. J’avais trouvé Altaïr sympa dans AC1, mais bien en dessous de ce que j’en entendais. Mais dans AC 2, à travers les pages du codex, on en apprend plus sur sa vie après les évenements d’AC 1, . J’ai également beaucoup aimé la réecriture de l’histoire : avec des glyphes à trouver aux 4 coins des maps, on apprend notamment que les travaux de Nikola Tesla dérangeaient grandement les templiers, qui cherchaient à s’en débarasser, ou encore que Napoléon Bonaparte était en possession d’un fragment d’Eden (qu’on retrouvera d’ailleurs dans AC Unity). On a comme cela une nouvelle vision de l’histoire, digne d’une immense théorie du complot, mais comme terrain de jeu pour un jeu vidéo je trouve ça super plaisant.
Seul regret à mon gout : on ne passe pas assez de temps dans le présent, qui est pourtant le point du scénario le plus important selon moi. Seule la toute fin de l’histoire dans le passé, ainsi que les informations qu’on récupère ci et là via les objectifs annexes ont un réel intêret pour le lore global, le plus passionnant selon moi. Le reste des mémoires d’Ezio est, avouons le, surtout du remplissage, et même si elles restent sympas à parcourir, n’apportent rien à l’univers.

Pour résumer nous avons un bon jeu, avec un univers qui s’étoffe grandement, mais c’est assez dommage que les activités annexes (codex d’Altaïr, réinterprétation de l’histoire pour la lutte Assassins-Templiers),  se révèlent au final bien plus intéressantes pour l’univers, qui est tellement riche, que l’aventure principale (en excluant de ce constat la conclusion).

15/20

Et enfin Kona, on peut le qualifier de ce qu’on appelle un « walking simulator », un jeu d’exploration à la première personne, souvent d’enquête. C’est le cas ici avec Carl, un detective privé québecois qui se retrouve bloqué dans un village étrangement fantôme, car il devrait encore être habité. Carl devra gérer sa chaleur corporelle, les potentielles blessures de son corps, ainsi que son stress. On explorera la dizaine d’habitations et de batiments du village pour essayer de comprendre ce qu’il s’est passé. Le tout sera résumé dans le journal de Carl. Mais petit bémol : toutes ces informations sont finalement dispensables, car bien qu’intéressantes pour celui qui s‘intéresse à l’histoire, elles ne sont pas obligatoires pour avancer dans le jeu, seuls quelques lieux clés le sont, nous donnant les items essentiels à la progression. Autre défaut du titre, la gestion du froid ou des blessures n’est pas très compliqué, les ressources étant présente en quantité plus que nécessaire. Je n’ai d’ailleurs pas eu à prendre de trousse de soin avant la dernière heure de jeu. On regrette également l’absence de jauges de faim et soif (bien qu’on trouve de la nourriture et des bouteilles d’eau ou de bière). La barre de stress est également assez abusée, car si elle ne vous posera pas de problème tout le long du jeu, elle se révèlera impitoyable dans cette fameuse dernière heure, puisqu’elle se videra d’un coup, empêchant Carl de tirer au fusil par la même occasion. Alors si je comprends la démarche pour accentuer le réalisme, ça en devient quand même bizarre comme réflexe de survie, surtout que par contre il peut se battre à la hache ou au pied de biche sans problème … On pourra aussi regretter le fait que plein d’objets ne se révèlent jamais ou pas très utiles, mais surtout une fin qui tombe d’un coup, alors qu’une demi-heure avant on pensait encore en avoir pour un certain temps. Des questions restent en suspend et toutes les réponses ne sont pas données, et malgré le fait que j’ai fouillé le village le mieux possible, mon journal n’était pas intégralement rempli.
Donc en fait c’est sur ce dernier point que se joue selon moi la note de Kona. En cet état, c’est un jeu moyen, pas mal avec une ambiance très sympa, mêlant enquête rationnelle et évenements surnaturels, tout en sachant mettre une tension aux bons moments, mais avec un horrible sentiment d’aventure écourtée. Je lui mettrait donc 11/20. Mais c’est un tout petit studio qui a fait ce jeu, je peux donc comprendre que les moyens étaient limités. Donc si par contre suite il y a, ce premier opus prendrait tout son sens et monterait à 14 ou 15 sur 20 .
Je précise juste que Kona est mon premier « walking simulator », j’ai donc peu d’éléments de comparaison.

Tartiflettedongo, le 25 February 2018 à 19:30, dit :

Oups bon j'ai pas le terme juste, mais voilà cette DA me tente pas   Après je suis d'accord de ne pas juger un jeu sur son aspect visuel, mais la première impression est très importante.

Bahamut-Omega, le 07 February 2018 à 07:38, dit :

Tkt pas, j'étais même pas là pour vous voir me le souhaiter

Mais merci beaucoup à vous deux !

Natahem, le 24 February 2018 à 17:32, dit :

On est entièrement d'accord, je pense qu'une durée de vie "idéale" se ressent, quand on ne voit pas qu'une partie de l'histoire a  été coupée pour rendre la copie à temps, ou qu'on ne ressent pas que celle ci a été élargie pour faire du remplissage dit plus haut.

Ah non je critique pas, je parle de mon impression (qui est donc purement personnelle) à la vue des trailers. Peut être qu'à l'écoute des gens parler du jeu original, je m'en suis fait une image trop éloignée de ce que présente cette version remake. Après comme tu le dis c'est une question de gout, tant mieux si ça en ravi certains, mais perso j'ai toujours des réticences avec le style chibi.

Et juste par curiosité, de quel remake de FFIV tu parles ?

Tennee, le 25 February 2018 à 14:26, dit :

Le jeu m'a déjà l'air assez long comme ça, l'edition de base devrait me suffire. Et puis là forcément c'est une occase, donc au final je prendrais des DLC si j'adore le jeu, je pense qu'au final je reste gagnant.

Natahem, le 25 February 2018 à 14:23, dit :

J'ai demandé à mon frère des JPRG, mais il s'y connait pas trop ^^

Tartiflettedongo, le 25 February 2018 à 14:29, dit :

Je te parle d'une manette ergonomique et toi tu me parles de la première Xbox

Wolf, le 06 February 2018 à 13:19, dit :

Tkt il est excellent

Je viens d'avoir une ps4 pour mon anniversaire, j'ai donc eu avec :
-Ys VIII Lacrimosa of Dana
-Kingdom Hearts 1.5 + 2.5
-Star Ocean Integrity of Faithless

Et je me suis aussi pris sur Xbox (qui reste ma console préférée par rapport à la manette tout ça) :
-FFXV
-Kingdom Come Deliverance day 1


Ça fait un moment que j'ai pas donné de news sur le site, j'ai quelques avis sur des jeux à donner

Ouais cette DA c'est juste pas possible. J'etais trop jeune à l'époque pour avoir une SNES, et donc j'entendais de loin les gens parler de secret of mana comme d'une legende d'une JRPG. À l'annonce de ce remake j'étais donc trop content, mais j'arrive pas à imaginer une legende dans ce style artistique ^^

J'avais profité des soldes de fin d'année pour me procurer quelques jeux j'avais oublié d'en parler :
-What Remains of Edith Finch (15€)
-this war of mine : the little ones (10€)
-dead island definitive edition (6,60€)
-project zomboid (~13€)

J'avoue que j'ai pris ce dernier surtout pour jouer avec un pote de temps en temps.

Il était pas en solde mais j'ai pris aussi Anima : gates of memory, ça faisait un moment qu'il me faisait de l'oeil.

Ça marche merci

Je suis pas sur Facebook, mais c'est super de proposer ça

Bonne année à tous !

Non la base de XC1 est quand même son scénario, et autour il y a des quetes annexes dans un open world ; alors que d'après ce que j'ai entendu, la base de XCX est l'exploration avec des quetes annexes, et que le scénario "principal" est un peu osef.
Apres encore une fois ce n'est que des paroles rapportées.

Perso, bien que ayant adoré le 1, le X ne m'a jamais attiré. J'ai pas compris l'intérêt d'un espèce de MMO solo (c'est en tout cas l'impression qu'il me donnait.

Justement Baha le seul echo que j'en ai eu est que justement le début était un peu longuet à se mettre en place, mais que une fois cela passé, on etait transporté par l'histoire donc tu vois ça veut rien dire

C'est grave d'avoir des débats comme ça, parce que si on poursuit sur leur logique, on arrête Tomb Raider et les personnages feminins dans les jeux de combat, il ne faudrait pas banaliser les violences faites aux femmes ...
De la même manière avec les personnes de couleur, le racisme c'est mal.

Je ne comprends même pas que des gens ne puissent pas voir que c'est absurde. La censure est de base mauvais pour la création artistique, espérons que cette histoire ne prenne pas trop d'ampleur.

Ah mais c'est clair qu'ils vont pas les enlever, mais ça fait quand même du bien de voir qu'on a le pouvoir pour faire changer les choses. (Enfin je suis pas dupe non plus, je sais bien que ça va pas changer du jour au lendemain)

Tiens l'actualité est forte en ce moment sur ce sujet, on a maintenant droit à une lettre d'excuse d'Electronic Arts quant à la politique douteuse de ces loot box sur Star Wars Battlefront 2

Certes c'est pas la claque graphique, mais pour un jeu à budget moyen c'est pas la catastrophe non plus. Et puis son gros point fort a l'air de se situer dans son système de PNJ uniques avec chacun une histoire propre et une influence sur l'univers.