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Les Rpg En Animés, Mangas Et Films


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46 réponses à ce sujet

#41 Invité_batmanmania_*

Invité_batmanmania_*
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Posté 12 March 2015 à 17:15

gentux  en attendant que leS film 2 et 3 sortent en vostfr tu peux toujours voir le 1er ,il est en vostfr .Wolf , peut être que y'aura un 4ème film ,de toute façon si c'est le cas  je mettrais la new pour vous sur ce topic.

#42 Wolf

Wolf

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Posté 12 March 2015 à 20:22

Gentux l'a dit lui-même :

Voir le messagegentux, le 09 March 2015 à 18:51, dit :

J'attends qu'ils soient tous sortis pour les voir. :^^:

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#43 Invité_batmanmania_*

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Posté 03 April 2015 à 18:19

Salut pour les fans de FF  TYPE O.  sachez que  le 1er volume du manga qui s'intitule "Le Guerrier à l’épée de glace", sera disponible chez  l'éditeur "Ki-oon " le 11  juin 2015 au prix de 7.65 €. L’histoire du manga se déroule 9 ans avant les événements du jeu. Nous suivons le passé de Kurasame, professeur de la légendaire Classe Zéro. Le manga Final Fantasy Type 0 Gaiden de Takatoshi Shiozawa a débuté en 2012 aux éditions Square Enix et dénombre un total de 5 tomes reliés, au Japon.

Modifié par batmanmania, 05 April 2015 à 01:14.


#44 Wolfangele

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Posté 09 May 2015 à 06:57

Voir le messagebatmanmania, le 03 April 2015 à 18:19, dit :

Salut pour les fans de FF  TYPE O.  sachez que  le 1er volume du manga qui s'intitule "Le Guerrier à l’épée de glace", sera disponible chez  l'éditeur "Ki-oon " le 11  juin 2015 au prix de 7.65 €. L’histoire du manga se déroule 9 ans avant les événements du jeu. Nous suivons le passé de Kurasame, professeur de la légendaire Classe Zéro. Le manga Final Fantasy Type 0 Gaiden de Takatoshi Shiozawa a débuté en 2012 aux éditions Square Enix et dénombre un total de 5 tomes reliés, au Japon.

Oh my god, cela est une superbe idée, surtout de découvrir le passé de ce personnage charismatique que j'adore ! Merci pour l'info, je serai surement preneuse ! :p
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#45 Wolfangele

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Posté 09 May 2016 à 10:57

Enfin une date annoncée pour l'animé de tiré de Tales of Zestiria, qui est prévu pour juillet donc !
Je pense que je me laisserai tenté à le regarder, car l'histoire est bien foutue !

source : http://gematsu.com/2...anime-airs-july
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#46 Wolf

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Posté 01 May 2018 à 11:07

Je suis allé voir le premier épisode de l'anime Persona 5. Car je ne sais pas arrêter de m'acharner sur une cause perdue, morte, enterrée et bétonnée.

... Vous allez pas le croire, mais j'étais vraiment partant, hein. C'est pas qu'une petite chance que j'étais prêt à lui laisser, c'était mon entière confiance. L'anime Persona 4 avait sublimé son matériau de base en le débarrassant de toutes ses tares, alors, pas de Raison que celui-là n'y arrive pas. Or, c'est bien connu, quand on n'a pas de Raison, on s'en trouve. (cherchez pas la référence avec les majuscules, c'est sans intérêt)

Graphiquement, n'ayons pas peur des mots, c'est laid, c'est vraiment très laid. Mal dessiné, mal animé, avec un chara design qui colle à l'original au-delà du ridicule. C'est encore plus laid que les scènes en anime du jeu de base, ce qui n'était pas une mince affaire.
Musicalement, ben on se fait pas chier et on reprend les musiques du jeu. Je ne dirai rien sur la qualité des musiques elle-même, elle est ce qu'elle est, mais le fait est que la surimpression se sent vachement passer. Certes, P4 le faisait aussi, mais dans l'ensemble, ça passait mieux.

Et le pire du pire, le caca sur le vomi, c'est le rythme. Décidément, si ce mot était une personne, Amnesty International ferait le procès du siècle à Atlus tant ses orifices naturels ont été soumis à la pire des tortures. Après un jeu qui le violait de face en faisant traîner à mort, l'anime lui fait le derrière en rushant tout à un point que je n'aurais pas cru possible. Le premier épisode rushe en 20 minutes l'équivalent de trois heures de jeu blabla. Donc, forcément, on n'explique presque rien et tout est expédié. Je pars avec l'avantage de connaître la si merveilleuse histoire de ce merveilleux jeu, et je vous jure que punaise ça aide. Car si ce n'était pas le cas, j'aurais drop au bout de 3 minutes montre en main, en pestant "pff encore un anime publicitaire pourri torché à la va-vite, très peu pour moi".

Je détestais P4 et ne voulais pas entendre parler de l'anime, il m'avait suffi de voir le premier épisode pour en devenir fan. Je déteste P5 mais croyais en l'anime, il m'a suffi de voir le premier épisode pour le rejeter. Ca fait au moins un point sur lequel ces deux oeuvres se distinguent. Image IPB

Modifié par Wolf, 01 May 2018 à 11:08.

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#47 Ragnarok

Ragnarok

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Posté 23 July 2018 à 00:17

Vu Mazinger Z Infinity.

Citation

L'ancêtre des robots a eu droit à tellement de remakes et de reboots, et cette fois il ne déroge pas à la règle avec un nouveau film sorti chez nous sur le grand écran, il n'y a pas si longtemps (et pour une fois avant le Japon, de quelques mois). L'ambiance de la série est toujours préservée, mais délaisse des décors et des environnements des années 70 pour se concentrer sur des lieux plus modernes comme de nos jours, voire dans un futur proche. Il faut dire que ce chapitre se déroule des années bien plus tard après les 92 épisodes de Mazinger Z de 1972 et les 56 épisodes de Great Mazinger de 1974. Les personnages ont peu vieilli mais n'ont pas tellement changé. Mais ça ne change rien à l'ambiance, car la nostalgie fait toujours son petit effet en nous renvoyant à des éléments du lore de la saga qu'on avait connu naguère et qui font la beauté de son univers fantastique. Tout évolue mais reste fidèle. L'énergie photonique, qui a toujours joué un rôle important dans la série, est naturellement au cœur du film. On retrouve bien sûr Koji Kabuto (Alcor de Goldorak) en héro principal, sa douce et tendre Sayaka Yumi, ou encore Tetsuya Tsurugi et Jun Hono, tout comme on retrouve forcément le grand frère de Mazinger Z : Great Mazinger. Pas de Grendizer (Goldorak en français) de présent, par contre. Seuls les deux robots géants des deux premières séries de la trilogie Mazinger / Go Nagai sont à l'honneur. On se concentre donc sur les Mazinger, avec évidemment Mazinger Z Infinity, le nouveau, un robot si géant qu'il ferait passer Mazinger Z et Great Mazinger pour des humains à côté ! Parce qu'ils sont aussi grands que ses pieds. L'histoire se focalise donc sur ce titan mécanique au design high-tech et à l'alliage extraterrestre, que convoite le vil Dr Hell, assisté de ses sbires le Baron Ashura et le Comte Broken. Le film est blindé de petites références aux anciennes séries çà et là, parfois cachées ou discrètes pour le plus grand bonheur des fans car il est toujours amusant de les repérer. Le chara-design garde les mêmes formes et traits de dessins originaux de Go Nagai, mais l'expression des personnages change quelque peu. Les bêtes mécaniques font leurs retours, à commencer par les sempiternels Garada K7, Doublas M2 ou encore Genocider F9 pour ne citer qu'eux. Les fans de la première heure seront servis car on retrouve le charme des combats d'antan à l'exception que ça va plus vite, ça tape plus fort. La panoplie d'attaques du Mazinger est toujours présente, comme le Rocket Punch permettant de projeter ses avants-bras afin de donner des coups de poings aériens téléguidés, le Koushiryoku Beam qui est un rayon d'énergie photonique à haute température faisant fondre les alliages, ou encore le Iron Cutter capable de découper l'acier comme du beurre. D'ailleurs, le mecha-design, s'il reste coloré avec des formes arrondies et bossues comme dans les classiques animés de Super Robot, opte pour une 3D cell shading la plupart du temps, comme c'est le cas pour la majeure partie des animés de méchas depuis quelques années. Mais les robots restent fidèles et bien animés, avec leurs armes respectives, on les reconnait sans mal et c'est le principal.

Le scénario ne révolutionne rien : Un Mazinger puissant est découvert dans le Mont Fuji et cela provoque inexorablement le retour du Dr Hell qui revient d'outre-tombe, ennemi juré de Koji. Ceci dit, il y a quelques petits éléments qui apportent une certaine réflexion sur l'avenir du monde, notamment sur nos héros, et ce grâce à l'arrivée d'un nouveau personnage : LISA, personnage-clé qui aura son importance dans le récit. La fin offre son lot d'émotions, et quelques révélations concernant les héros principaux. Classique, avec quelques petites idées et surtout, des petits clins d'œil à gogo. On se surprend même à siffloter le générique du dessin animé original, qui est repris à certaines occasions. C'est assez sympa je trouve, le scénario se met doucement en place durant la première moitié du film, et dans la seconde moitié l'action devient plus présente, et ça ne rigole pas tellement Mazinger Z met des roustes à des hordes de bêtes mécaniques qui ne lui font pas de cadeaux ! Mais la machine de Koji est tellement cheatée par moments que c'en est un jeu d'enfant de faire mordre la poussière à ses adversaires, sauf vers la fin évidemment où ça se corse. On en apprend pas mal sur Koji et Sayaka qui ont changé de vie, et Tsurugi et Jun dans une moindre mesure, les autres faisant surtout office de figurants. Certaines scènes sont également émouvantes même si ça reste assez succint, d'autres instaurent une tranche de vie accentuant l'aspect comédie et l'esprit bon enfant. L'humour "Nagaiyesque" est bien sûr de la partie, surtout avec Boss et sa bande, les clowns de service. Il y a une poignée de scènes de fan-service limite ecchi dont on se serait bien passé, mais c'est la marque de fabrique de Nagai dans ses productions et qui contribue toujours à l'humour. Musicalement, comme je l'ai dit, le thème principal du Mazinger Z revient parfois, remixé sous des formes différentes, mais on a aussi droit à de nouvelles musiques dont notamment celles des combats de méchas qui sont plutôt épiques. Mais globalement, ça reste discret et ça devient péchu lors des séquences de castagne mécanique.

Pour 95 minutes, j'ai passé un bon moment. La petite larme à l'œil, plus pour la nostalgie que les scènes tendres lorgnant sur la romance et le devenir de nos héros. Ça n'a pas été la bombe, mais j'ai quand même plus apprécié que le reboot très spécial Shin Mazinger Shougeki! Z-Hen et le décevant Mazinkaiser SKL.
Encore une fois, Mazinger Z est mis en avant et devient la star de son film malgré la présence d'un Great Mazinger en retrait. Ça ne me déplairait pas qu'ils fassent un film se concentrant sur Great Mazinger avec l'Empire des Mikènes, et un autre autre sur Grendizer avec les légions de Vega comme ennemi. Chaque robot aurait ainsi son film moderne.


14/20
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