Bonjour à tous,
je suis que ce topic commence à s'ouvrir et acceuille un peu plus de monde!!! Je retrouve Chaz comme tjrs

('lut mon pote, 'lut à rei3 aussi

). Plus on aura d'avis, plus on pourra se forger une opinion sur ce qui nous entoure!!!
Pour Chaz, bien sur, que tu peux parler comics(= bd américaine), car ce topic, à pour thème l'univers bd(j'ai mis manga pour titre car la plupart des bds parcouru dans ce forum sont d'origines japonaise). Le seule bémol que je répète, c'est de bien paragraphé les sujets. En effet, ayant pour thème l'univers BD(toutes confondus maintenant), ce topic propose un grand nombre de sujets, pour qu'il ne tombe pas dans le chaos postal et que le lecteur ne se perdent pas, je demanderais de faire des paragraphes si le post contient plusieur sujet different, voire de signaler de quoi on parle^^. Mici!
Tout à fait rei, le type de graphismes d'un animé sont choisis selon le sujet abordé. Pour assurer un animé fluide et vif, on mettre plus le point sur des graphismes où le trait s'estompe laissant place aux couleurs, presque proche de l'abstraction plastique.
Mon avis sur le sujet : je suis comme Rei, ya pas de préference du moment que les graphismes ont un intéret justifié par rapport à sujet du scénar. Ce qui met en exergue( ^^ et hop un chti mot) non un gout prononcé pour tel ou tel style, mais un réèl travail artistique de la part des équipes de déssinateur!
Pour DBZ, j'avoue qu'il a bercé mon enfance, et je ne le renierai jamais. Qui ose dire qu'il n'a jamais maté du kaméha n'est pas fan de manga! L'oeuvre Toryama est une figure incontournable qui met en avant les valeurs jap telle que la ténacité de ce pays, mais Toryama c l'esprit joyeux et, assez rare de nos jours des animés jap(maintenant on tombe dans le sombre, ou le quotidien lugubre...c pas un moins).
Ensuite c'est sur que mon interet pour les mangas a évolué, je recherche quelques chose de plus construit c sur! Mia sje pense que ce n'est pa sune raison pour le mettre à la ruine. DBZ est un manga qui a mis au grand jour à nos tv la japanimation. Demande au téléspéctateur de base quel manga il connait, il te réponde DBZ.
Un point sur lequel j'ai envie de m'étaler

, il est en aucun cas un point néagtif au manga que l'emergence des femmes mangaka au contraire! Il est meme démontré sociologiquement, plus la femme est impliqué dans un secteru d'activité, plus un pays est développé économiquement parlant mais aussi de manièe éducative, et plus ce pays est démocratique. Toute émergence des femmes dans quelconque domaine est un point positif, il en va de meme dans le manga!
Il y a en ce moment un vague déferlante dans l'univers japonais de femme mangaka, qui publie sous le format Gekiga!
Alors je fusionne deux sujet, gékiga et femme mangaka, car l'émergence des femmes mangaka que je parle est rattaché à ce format de bd. Je ne pexu en parler l'un s'en l'autre.
Bien sur, il y avait avant la sortie du gekiga des femme manga. Elles publie entre de manga a tendance shonen(manga pour garçon) ou shojo(manga pour filles) avec des histoires conventionnelles si je peux dire en poussant le terme jusqu'à son potentiel complet! Ces femmes mangaka telle que Clamp sont contraints dans leur création artistiques, si elles veulent vendre, il faut qu'elles tiennent compte des intérets des lecteurs.
Or la vague de femmes dont je parle là sont des femmes qui déjà plublie sous un format gékiga(=format de bd jap légèrement plus grand que le manga courant, si mes ecrits sont bons!) cad à achat plus cher, et donc qui n'est pas accessible à tous(bn faut dire c juste quelques euros de plsu ici), mais aussi car les sujets abordés par ces femmes sont des histoires travaillés de façon plus littéraires et les sujets abordés sont souvent délaissés par les maisons d'éditions prenant peur que ça n'interesse pas aux clients.
Ha oui un point à rajouter : le point de vue des japonais sur le Gékiga et le Manga sont différents. En France, ça vient juste d'arriver donc on a pas encore pris conscience. LE GEKIGA EST LE RETOUR DES BD A TOMES UNIQUE!!!!! En effet, la difference entre le manga et le gekiga c'est la reproduction de masse. L'un, le manga, est à intéret commerciale et économique, l'autre, le gékiga, par conséquent(et est vérifié) est à intéret LITTERAIRE et ARTISTIQUE.
Vous allez me dire, c minable comme argument que tu nous rappoorte là, mais c vérifié et étudié(g vu ça en fac d'art^^). La BD a tome unique n'est pas traité comme une histoire où tu peux multiplié les publications! Tu vas devoir condenser tes idées en quelques pages, voir meme les exprimés par le déssin memes. En gros, le gékiga est dans l'univers japonais le retour, comme on l'appelle de manière artistique, du chef d'oeuvre(si reussi^^).
Dès, lors les mangaka, peu importe si ce sont des femmes ou hommes, ne sont plus de simple déssinateurs mais un peu comme des romanciers. Ils doivent tout travailler des idées jusqu'aux traits et graphisme de leur déssin pour combler la restriction du nombre de pages. de manière télévisuelle, le manga serait la série, le gekiga, le film. L'approche est donc differente entre le manga et le gékiga, les lecteurs aussi. Il visera à toucher un public mature, peu imprte l'age, la maturité se définit par la sagesse de ton esprit! Un peu comme le seinen du manga, mais avec l'approche litreraire et à l'interet artistique(créateur de sens).
Mais ce qui est le plus troublant, c'est que pour le format Gekiga, ce sont essentiellement des femmes qui publie des histoires! Il ya entre autre Yamada Naito avec
BEAUTIFUL WORLD qui traite du quotidien de jeunes gens en marges de la société, Kan Takahama avec son
KINDERBOOK, Junko Mizuno avec
CINDRELLA un gekiga à l'humeur étrange, dont les couleurs sont utilisés pour eveiller des sentiments précis. Elles sont proches de la trentaine et sont en partie des femmes qui au départ ne se consacrait pas au monde du déssin et voire qui ont connu des echecs artisitques. Le déssin est donc pour elles un réorientation qui leur permet de traiter les sujets voulus avec leur sensibilité ca ce n'est pas par le déssin que leur histoires vont se vendre. Dès contrairment, au manga de base, il se dégage de leur histoire une atmosphère propre à elles, une pate que l'on ressentira dans leur prochaine ouvrage mais qui traitera surmeent d'un autre sujet. Leur manière de travailler est assez differente du manga, exemple Naito travaille essentiellement à partir de photo, et par ordinateur, Mizuno, quant à elle, utilise de couleurs peu ordinaires, très acidulées et ausis des procédés kawai (procédé commerciale mais qui est manié par Mizuno avec ironie bien sur, gros foutage de gueule quoi

).
Si le gékiga se dégage du manga pour sa littérature(travail sur le déssin meme et sa remise en cause dans sa fonction par la narration), cela ne veut pas dire que le manga n'est pas scénaristiquement travaillé. Je veux apporter cette nuance. On peut trouve dans le manga, des déssinateurs et scénaristes très performant, qui ont de hautes références, dont l'histoire tape à l'oeil et est minutieusement construite. Le but n'est pas le meme, alors qu'il doit vendre et faire prospérer sa série en nombre de tome conséquent(un manga ne faisant que 2-3 tomes est considéré comme un echec), le manga a le pouvoir de créer un lien entre le lecteur et les personnages, un rendez-vous chaque mois, un attachement affectif qui provient du gout du lecteur, ce qu'on ne retrouve pas dans le gékiga, étant à tome unique. Mais il en va sans dire, par conséquent, que le fait que le manga se construit en série, il y aura des moments où il pechera un peu, aura des passages lourd et plat, mias reussira à garder ses lecteur car il répond à ses attentes. en effet, le manga repondra à certain critères et à des constructions narratives préétablis, alors que le gékiga, lui, proposera une histoire à sa sauce(c'est ça aussi la littérature, proposer un sujet moderne ce qui met non pas l'auteur non pas dans son temps mais en avance sur son temps).
voilà pour les nuances apportées .
Modifié par Yiza, 17 April 2005 à 09:47.