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[Pezam]

J'ai fini la version SNES du premier Dragon Quest.
Il n'y a pas à dire, c'est plus classique que classique, mais c'est rondement mené et pas chiant à jouer, aujourd'hui encore, ce qui peut être rare pour un JRPG traditionnel. Le seul souci qu'on peut avoir c'est la nécéssité de faire du grind à chaque nouveau village découvert, histoire de gagner quelques niveaux (souvent 3-4) et de l'or pour avoir un équipement satisfaisant. C'est un peu lent, c'est pas franchement le plus passionnant, mais ça passe car au final les affrontements sont assez rapides.
Niveau histoire j'ai trouvé ça mieux que FF premier du nom, qui lui était bien trop long (même s'il était très bon lui aussi) pour son synopsis et son classicisme. De manière générale j'ai en fait préféré DQ1 à FF1 (et à FF2 mais FF2 est tellement pourri que c'est pas vraiment difficile ahah), ce à quoi je ne m'attendait pas. J'ai même préféré DQ1 à DQ7 et DQ9!
Je suis toujours sur le 4 aussi (chapitre 5), et clairement je pense que je vais là aussi préférer DQ1... Je sais pas, le petit charme, il y a un ptit truc mignon qui se dégage du jeu.
Je me souviens plus de combien j'ai mis pour DQ7, mais je mets DQ1 au même niveau que DQ8 personnellement, ce qui vaut bien un 18.

[Bahamut-Omega]

J'ai finis World of Final Fantasy ~Day One Edition~ sur Ps4, en 68 heures (42 pour le scénario, le reste pour le post-game et les trophées).

Dans l'ensemble j'ai été très satisfait par ce jeu, qui tient ces promesses avec du "bon" fan-service et un gameplay simple à prendre en main et efficace. Et arrive même à surprendre avec un scénario assez émouvant sur la fin.

Dommage qu'il y ait pas mal de petits défauts, qui bout-à-bout, pèsent sur la balance. Par exemple :
_ La trop grande facilité du jeu, qui ne permet pas réellement d'exploiter le gameplay.
_ Beaucoup de monstres "doublons" malgré que le bestiaire de la saga est loin d'être entièrement exploité.
_ Pas assez de "Sauveurs" utilisable en combat, d'autan plus que parmi ceux qui sont présent dans le jeu, un bon nombre font juste de la figuration.
_ Une OST très décevante, avec des thèmes exclusifs très transparents et des Remix plus que discutable.
_ Une VO disponible gratuitement seulement pour l’édition "Day One".
_ Une partie des quêtes annexes sans grands intérêts.
_ Et des mini jeux assez lourdingue.

Une dernière chose m'a un peu ennuyé, mais là c'est complètement subjectif, c'est que je ne suis pas fan du chara-design de Nomura à la base, mais je déteste tout particulièrement le design "chibi / SD" qui a été choisis pour les Sauveurs.

Mais bon, ce jeu est plus riche qu'il en a l'air. Et je me suis bien amusé, bien plus que sur les épisodes récents de la saga principale. J'espère en voir un autre opus allant encore plus loin dans "ce" fan service plutôt bon.

15/20

[Bahamut-Omega]

J'ai finis Dragon Age: Inquisition ~Game of the Year Edition~ sur Ps4 en 95 heures pour le jeu de base et ses trois extensions.

Premier opus de la saga en ce qui me concerne, je ne sais pas si ça sera le dernier j'ai quand même envi de connaître la suite, mais c'est mal partie quand même…

Le plus gros défaut de ce jeu à mon goût, c'est l'équilibre entre les phases de dialogues et de jeu. D'un coté les quêtes sans intérêts et avec des objectifs peu variés, et de l'autre des dialogues entre les nombreux personnages interminables et des rentrées dans le codex à n'en plus finir.
Si seulement les développeurs avaient trouvés la formule pour concilier les deux, pour rendre le scénario mieux rythmé et les phases de gameplay plus variées… Dommage, d'autres développeurs y sont arrivés.

Le choix aussi d'un avatar comme personnage principal est dommageable. Sachant qu'il participe à tous les dialogues et qu'il a un passé.
D'une, ça m'a semblé difficile de s'identifier à l'avatar.
De deux, la création du personnage étant assez limitée (sur console du moins) les nombreuses scènes sont gâchées par le manque d'expressions faciales et une démarche de gorille.
Proposer deux personnages par races (homme et femme) aurait été un bien meilleur choix à mon goût.

Il y a aussi le système de combat que je n'ai pas vraiment aimé. En difficulté normale, les combats sont longs. En facile, ils sont tout aussi longs mais plus ennuyants. Quand au mode "tactique", il n'a pas vraiment d'intérêt dans ces difficultés là, et est même moins lisible.
Il faut aussi attendre trop longtemps pour que les personnages aient de bonnes compétences.

Techniquement le jeu n'est pas terrible, même en édition "Game of the Year", aliasing, manque de stabilité de framerate, bugs graphiques et plantages fréquent.

Et pour finir avec les défauts, je trouve l'OST tout simplement absente du jeu. Ou plutôt de sa plus grande partie, c'est-à-dire les phases d'explorations et les combats normaux. À moins que le ventilateur de la console soit présent dans l'OST…
C'est dommage car Trevor Morris a signé d'excellentes pistes pour la partie scénarisée et les combats contre les boss.

Heureusement le jeu possède quelques qualités.
Son scénario plutôt intéressant, et son univers d'une richesse incroyable.
Coté personnage on a un peu de tout, mais les principaux sont plutôt réussis. Ils sont d'ailleurs très bien doublés en VO américaine.
Le jeu est plutôt bien réalisé, les décors sont détaillés, et surtout d'une très grande variété. C'est d'ailleurs le principal atout de ce jeu.

Je voulais lui mettre tout juste la moyenne, comme un autre Open-World plus récent, mais DAI possède au moins un univers riche ET développé dans le jeu.

12/20

[Tennee]

Et les extensions, indépendamment du reste tu en as pensé quoi ?

Moi je trouve que de manière générale aucun des personnages est vraiment attirant, je ne sais pas s'ils n'ont pas de charisme mais je trouve que le charadesign et les choix de caractéristiques physiques de chacun sont plus que douteuses (Serah, Vivienne et Solas notamment... celui que j'ai préféré est Blackwall, même si ça reste moyen). J'ai aussi eu du mal avec la création de personnages, en fait je n'ai jamais trop aimé les jeux où on se crée son personnage, et je trouve en effet que les possibilités sont limitées.
Les femmes n'ont aucune coiffure aux cheveux longs, elles ne sont pas vraiment belles quoi qu'on tente de faire. Heureusement que j'ai fait le jeu avant TW3 (enfin le jeu de base du moins).
Cela dit j'avais quand même passé plus de 200h sur le jeu au total, dont une trentaine pour toutes les extensions.

[Bahamut-Omega]

Pas hyper emballé par les extensions.
Les deux premières proposent des zones sympa à explorer. Leurs scénarios est assez anecdotique (sortie d'un chapeau magique et n'ont aucun impact sur l'univers de la saga).
La troisième est décevante concernant le gameplay (exploration limité, disparition de l'OW), mais a le mérite de "continuer" le scénario du jeu de base.

Sinon, je suis content de l'avoir fais après FFXV, sans quoi ça aurait été encore plus décevant je pense. Mais l'écart avec TW3 est trop important.

Modifié par Bahamut-Omega, 28 February 2017 à 15:25.

[Saundell]

Le mode tactique ne trouve son utilité qu'à partir du mode difficile, et permet d'apprécier le gameplay d'une toute autre manière. Parce que c'est vrai que si il n'y a pas de challenge suffisant pour utiliser le mode tactique, les combats "action" sont assez vides d'interêt.
Après le mode tactique c'est particulier on aime ou on aime pas, mais personnellement j'en garde un souvenir sympa.
Après pour le reste du jeu je ne peux pas vraiment parler, j'ai à peine commencé l'aventure.

[Bahamut-Omega]

Ouais enfin dans les fait c'est plutôt un mode "stratégique à temps réel" et dans ce style de jeu tu as une caméra qui te permet de voir l'ensemble de la zone de combat. Ce n'est pas le cas ici, sur Ps4 du moins.
Donc quitte à passer mon temps à maintenir R2, autan que ce soit avec une meilleur vu du combat.

[Saundell]

Ah moi il me semble pas que j'étais systématiquement en mode tactique, c'était plus du 50-50, le temps de donner des instructions, puis de me battre en vraie vue, puis redonner des instructions, etc..

[Delldongo]

Terminé World of Final Fantasy, sur PS4 : (14/20)

Citation

Un bon divertissement que ce World of Final Fantasy, pas exempt de défauts, mais au moins fun à jouer, ce qui en fait le meilleur FF depuis bien des lustres (l'épisode 12 en fait). Le jeu possède un certain potentiel et un excellent gameplay (contrairement à ... oui, suivez mon regard). Le jeu est surtout savoureux au début, quand le jeu ne se prend pas trop au sérieux. Les deux protagonistes sont plutôt sympas, notamment Lann (L'âne) et bien entendu, le fait retrouver une bonne partie de la mythologie Final Fantasy fait beaucoup pour le charme du jeu. C'est d'ailleurs plutôt sympa d'avoir un peu tout mélangé (un réacteur Mako sous le château de Figaro, lui-même relié à la prison du désert ...). Le scénario est donc agréable à suivre, même si la fin n'est à mon sens pas une réussite. Le ton que prend le jeu alors est bien trop sérieux, et la "fausse" fin ne sert à rien (heureusement qu'il ne faut pas refaire le donjon final après ça). Visuellement, le jeu aurait pu s'appeler World of Kingdom Hearts, mais les décors sont d'une grande réussite je trouve. Après on aimera ou pas l'aspect SD que prend le jeu, mais il faut dire que ça a au moins le mérite d'unifier tous les design quand même bien différents entre tous les épisodes. Musicalement, il y a un peu de tout. Les plus réussies sont les reprises de musiques de lieux, et certaines créations originales pour cet épisode valent aussi le détour. Mais (et j'ai beau adoré Hamauzu), la fainéantise de la bande-son frise le ridicule, notamment dans les reprises des thèmes de combat. Il n'y a guère que le thème de FF8 qui est écoutable (avec celui du 1 et du 3) : et vous pouvez oublier le reste, ce n'est même pas sûr que vous arriviez à reconnaître le thème (Tifa). Peu importe, le tout reste agréable puisqu'une option permet de régler le thème de combat qu'on veut. Le jeu vaut donc principalement par son gameplay, même s'il reste sous exploité : on nous faire croire au début qu'on pourra passer de grand à petit, ou qu'il faudra faire ou défaire ses pyramides. Mais en fait non, on peut prendre n'importe quel myrage, du début à la fin, la seule chose qui compte vraiment, ce sont les niveaux, puisque de toute façon on défonce tout (ou quasiment tout) à l'attaque de base. Le tout reste quand même sympa, ne serait-ce que la collecte des myrages. Bref, World of Final Fantasy n'est pas le jeu de l'année, mais c'est une bonne surprise.

Terminé également Legend of Foresia, en coop, en une vingtaine d'heures: (6/20)

Citation

Au-delà des défauts qu'on peut reprocher à Legend of Foresia au premier coup d'oeil, il ne faut pas forcément abandonner et tout jeter dans ce jeu. Tout d'abord, non seulement c'est un des rares véritables RPG pouvant se jouer à plusieurs (jusqu'à 4), mais il serait débile de s'y lancer en solo. Le jeu en coopération apporte pas mal de fun, surtout pendant la première moitié de l'aventure. D'autant que le jeu propose un nombre de classes assez étendu, même si malheureusement, seules les classes basées sur le physique sont réellement jouables. En effet le jeu souffre d'autres défauts que simple des graphismes bâclés, une traduction incompréhensible, un scénario inexistant ou des musiques sans âme : Legend of Foresia a également de très gros problèmes de gameplay, avec des statistiques qui visiblement paraissent soit totalement inutile ou alors complètement aléatoire. Par exemple, les personnages ont bien une d'attaque magique ; cependant les dégâts occasionnés par les magies sont fixes . Donc un mage de niveau 5 qui lance le même sort au niveau 100 fera les mêmes dégâts. Cela pourrait passer si d'autres stats comme la défense physique n'étaient pas également buguées : on peut passer 40 à 50 niveaux et se faire taper toujours pareil par les mêmes ennemis. Que dire aussi de ces boss qui, avec la même attaque, pourront vous occasionner 20 points de dégâts, puis 200 une seconde plus tard avec la même attaque, alors que rien n'a changé. Totalement aléatoire, et aussi déprimant, comme la seconde moitié du jeu. En effet, après avoir obtenu les quatre premiers cristaux et donc avoir déjà fait son chemin dans les 4 donjons parmi les plus chiants qu'il m'ait été donné de faire, le jeu n'a rien trouvé de mieux que de planquer les 4 derniers cristaux dans les mêmes donjons, dans les niveaux suivants. Peu importe, me direz-vous, il y a bien un moyen d'atteindre la première partie des donjons plus rapidement : et bien non. Toutes les portes ouvertes et les énigmes résolues seront revenues à leur état d'origine : il faut donc tout recommencer depuis le début, ce qui est inutile et chiant, tout simplement. Le jeu a globalement une difficulté assez facile si on prend le temps de faire quelques courtes séances de level-up. En coop, on a terminé au niveau 190 environ, en une vingtaine d'heures. Certains boss sont malgré tout inutilement longs, à cause d'une défense d'un seul coup très haute, sans raison apparente. Il faut aussi dire que certains boss seront probablement quasiment impossible tout seul, à moins d'un leveling vraiment intensif. En résumé, Legend of Foresia n'est pas un bon jeu, mais il a quand même quelques bonnes idées, malheureusement souvent mal conçues. Un dernier exemple pour illustrer ça : il est impossible aux joueurs de s'échanger des objets simplement comme ça. Déjà que l'inventaire est très limité (10 objets en tout, dont l'équipement utilisé), pour pouvoir donner un objet à son coéquipier, il faut : sauvegarder, quitter le jeu, lancer le menu objet, placer les personnages dans le mode enchères (si on arrive, vu que les menus sont anti-ergonomique), choisir l'objet à "donner", le receveur doit proposer un prix à l'objet (oui, il faut ACHETER ce qu'un ami veut vous donner), essayer de placer l'objet en question au-dessus de la tête du receveur, appuyer sur le bon bouton (il faut tâtonner pour ça), puis sauvegarder l'inventaire de chaque personnage, revenir à l'écran-titre, recharger la partie (du moins charger la partie de chaque personnage, puisque chaque personnage possède sa sauvegarde), ouvrir le menu, aller dans son inventaire et enfin équiper (si bien sûr il ne faut pas identifier l'objet en question). En effet, chaque objet trouvé devra être identifié avant de pouvoir être équipé : oui, vous trouvez une épée, mais tant que l'expert ne vous dira pas qu'il s'agit de l'"Epée longue en acier", vous ne pourrez vous en servir. Il faut donc ressortir du donjon et aller à l'auberge pour cela, mais en fait vous ne le ferez jamais, puisqu'une fois sorti d'un donjon, toutes les énigmes résolues devront à nouveau être faites (et je vous assure, la progression dans les donjons est d'une chiantise extrême) ... Malgré tout ces défauts, Legend of Foresia reste un titre à essayer à plusieurs, au moins pendant les premières heures.

[Bahamut-Omega]

J'ai finis Atelier Meruru: the Apprentice of Arland sur Ps3 en 32 heures. Avec la fin la plus classique.

Pas grand chose à dire juste qu'il y a des petites améliorations par rapport à Atelier Totori.
Mon "préféré" des trois, mais trop perfectible pour être rejoué un jour.

La trilogie n'est quand même pas des plus agréables à faire. Cela dit, on voit l'évolution qu'il y a entre les opus au moins, mais ça reste entre grande partie une régression sur pas mal de point par rapport à Atelier Iris de mon point de vue.

13/20 pour Meruru, 11/20 pour la trilogie.

Tartiflettedongo, le 04 March 2017 à 12:03, dit :

Terminé World of Final Fantasy, sur PS4 : (14/20)

Sinon tu as fais les donjons optionnels et vu le boss optionnel ?
Tu as pu faire le boss optionnel des bonus de préco aussi ?

Modifié par Bahamut-Omega, 06 March 2017 à 19:51.

[Delldongo]

oui oui (mais bon, comme j'ai pas fait le jeu en question, ça m'a pas plus émerveillé que ça), j'ai capturé tous les myrages, par contre j'avais pas de préco ou de DLC ou quoi que ce soit avec.

par contre, faire du farming dans le vent pendant plusieurs heures pour avoir 100 myrages à fond, j'ai laissé tombé, du coup ça m'oblige pas à devoir faire ces mini-jeux de merde également ; j'ai vraiment mieux à faire.

[Bahamut-Omega]

Le boss des DLC de préco ne t'aurai pas plus emballé que ça alors, il a juste été dessiné par un grand nom du dessin japonais des années 70-80, c'est sa seule particularité.

Les mini-jeux j'en ai chier. Je confirme c'est la merde.
Peut-être pas autan que ceux de FFX, mais c'est presque aussi traumatisant.

Après le farming, c'est plus rapide que ça en à l'air en fait. Mais c'est sur, faut avoir un peu de temps à tuer quand même.

Modifié par Bahamut-Omega, 06 March 2017 à 23:14.

[Delldongo]

Exactement, t'as tout compris, et là du temps, je peux pas en "perdre" (j'ai super bien apprécié le jeu hein ^^) comme ça, surtout pour des trophées qui personnellement me passent complètement au-dessus. C'est sûr que si j'avais du faire la soluce du jeu, j'aurais creusé l'affaire, mais là, non, c'est sans moi.

[Bahamut-Omega]

* dessiné par un grand nom *  et non pas "désigné".

Sinon j'ai récupéré les derniers DLC de SD Gundam G Generation Genesis sur Ps4, cette fois-ci ils ne sont pas sortit avec trop de retard.
Que des robots seul (sans pilotes ni scénarios). Je les aient testés, mais c'est moins marrants sans leurs pilotes officiels. J'ai quand même choisis de garder dans mon équipe celui-ci à la place de l'Heavy Full Armor Gundam 7th, qui se faisait trop vieux.

Il y a aussi 2 missions bonus où il faut protéger des Haro géant contre bon nombres d'ennemis.
La dernière missions nous fait combattre un boss inédit de Gundam Build Fighter Try. Le robot est fournis avec le DLC, mais son pilote semble irrécupérable

Maintenant je suis prêt pour SRT V ou NieR: Automata.

[Bahamut-Omega]

J'ai rushé NieR (1) et vu la première fin, histoire de me remémorer un peu le contexte, et surtout les motivations de certains persos (les jumelles notamment) qui semblent revenir dans Automata.
Et ça valait le coup, je ne me rappelai plus du tout de l'origine des ombres.

Maintenant jusqu'à samedi (en espérant bien recevoir ma commande) je vais m'emmerder...

[Wolf]

Terminé The Gray Garden, le deuxième jeu créé par funamusea (alias Deep-Sea Prisoner) après Mogeko Castle mais avant Wadanohara and the Great Blue Sea... dont il est manifestement le brouillon.

L'histoire se déroule dans le Gray Garden, un lieu où se sont affrontés le Dieu Etiwh et le Diable Kcalb jusqu'à faire la paix et entamer une vie de couple. Depuis, anges et démons cohabitent dans la plus parfaite harmonie et le Gray Garden a tout du Paradis. Ce qui n'est pas voué à durer, bien entendu. Aux côtés de l'exubérante démone Yosafire, la stoïque ange Froze, la timide angelote Macarona et la vorace démone Rawberyl, le joueur va devoir protéger ce monde parfait de l'invasion annoncée par des chauve-souris enflammées...

Les qualités du jeu se trouvent avant tout dans sa direction artistique sucrée, son chara design arrondi et ses maps anguleuse qui se mêlent étonnamment bien avec la violence assez avérée de l'intrigue, ainsi que le gameplay qui parvient à s'étoffer un tant soit peu sur la durée. On notera aussi que le contenu est pas mal décomplexé, capable d'oser sur certains points (pour ne citer qu'un point, la majorité des couples rencontrés ou formés sont homosexuels). DSP semble avoir fait quelques progrès ès finesse depuis Mogeko Castle qui titillait la fine frontière entre le gras gratuit et pertinent.

Les défauts du jeu se trouvent dans un level design d'amateur qui confond "qualité" et "longueur", et un gameplay assez bancal au service d'un challenge proche du néant. Certains endroits sont bien pénibles à arpenter tellement c'est juste long et chiant et les combats (non-aléatoires) se plient en deux coups maximum. Il est presque recommandé de ne jamais en faire pour avoir vaguement l'impression de se battre contre les rares boss de la fin du jeu. La longévité est autant une qualité qu'un défaut, le jeu peut se plier en une après-midi, deux si on traîne en chemin, mais l'intrigue est assez lente à se mettre en place et le temps peut parfois sembler plus long qu'il ne l'est en réalité.


Mais je reste sur l'opinion que je donnais en préambule : The Gray Garden ne fait qu'aligner un peu n'importe comment des idées et des bases qui seront bien exploitées par Wadanohara. Le level design est moins étiré, le gameplay mieux pensé et distribué, la difficulté semble être un poil au-dessus (même si on reste dans le bas du panier) et le rythme emporte plus facilement le joueur réceptif. Aussi recommanderai-je aux joueurs prêts à tenter l'expérience d'un petit RPG gratuit de se tourner vers l'aventure de la jeune Sorcière des Mers.

Je reste donc sur la note de 14/20 pour ce jeu qui n'a ni qualités vraiment édifiante à faire valoir, ni défauts vraiment impardonnables à faire oublier. Ni blanc ni noir, c'est un jeu "gris".

Modifié par Wolf, 08 March 2017 à 20:11.

[Pezam]

J'ai vu les crédits de fin de FF Explorers (donc après les quêtes 5 étoiles), et DIEU MERCI, ça n'a pas duré plus de 10h.

FF Explorer, c'est la réponse grand public de SE à Monster Hunter, sans en approcher ne serait-ce qu'un ppm de profondeur.
De hunting game, il n'a que le nom, car il tient bien plus du MMO bas de gamme avec DA générique au possible et quêtes sans intérêts. La préparation est inutile, on tue toujours les mêmes monstres et les mêmes boss (merci mais les Eidolons 4 fois, ça commence à faire, on en a déjà fait le tour la première fois).

Je pense que le test de gamekult (http://www.gamekult....050276015t.html), même si je les trouve encore bien magnanime, souligne bien les nombreux défauts du jeu.

La caméra est une horreur (A-RPG Square Enix oblige), d'autant plus que sans circle pad pro la rotation est en action impossible à utiliser. La "personnalisation" est carrément inutile, puisque toutes les classes ont accès à quasiment tout.
C'est moche graphiquement et musicalement.
Les flux sont une bonne idée, surtout pour la personnalisation des compétences mais en fait ne servent à rien.
J'ai atteint les crédits de fin sans problèmes (c'est pas tout à fait vrai, Diablos m'a posé - et c'est le seul - un petit peu de mal) avec le premier équipement que j'ai forgé après avoir débloqué les quêtes 2 étoiles, et avec compétences de départ de mon perso (Lame effrénée, Entaille lunaire et Taillade qqch), sans aucune améliorations quelle quelle soit.
La transmutation se fait du premier coup - je lis souvent que c'est pourtant difficile dans certains tests.
Les monstres sont clairement abusés, même à bas level.
Le scénario se permet de balancer deux trucs comme des cheveux dans la soupe, sans aucun contexte avec le perso qui te dis en plus "C'est beaucoup à apprendre d'un coup"... ben non en fait. Ca n'a juste aucun intérêt c'est tout.

Au final, on finit par sprinter au but de la quête en courant et puis basta.Un FF de plus qui n'en vaut pas la peine quoi 03/20,

Modifié par Pezam, 14 March 2017 à 09:36.

[Wolf]

Terminé le scénario exclusif de Disgaea 4 : A Promise Revisited sur Vita.

Après avoir ramassé par hasard une montre à gousset, Fûka et Desco sont transportées 400 ans en arrière par la mécagicienne Nagi. Cette dernière les a invoquées pour leur demander de mettre un terme à la guerre entre Rékidona et Gurstak qui dure depuis des années. Sur leur chemin, elles vont découvrir l'origine de la relation entre Valvatorez et Artina, et peut-être essayer de changer leur destin.

Évidemment, l'histoire se frotte à quelques écueils, en particulier qu'il n'y a aucune surprise. On sait déjà très bien ce qui va se passer et comment. Mais ça, ce n'est pas encore rédhibitoire puisqu'une histoire riche de détails ou écrite avec audace saurait nous le faire oublier. Ou à défaut, des missions exclusives bien craftées pour nous forcer à mettre en place des stratégies pêchues.

Malheureusement, ici, rien de tout ça. Outre la mise en scène typiquement disgaeanne faite de sprites qui bougent n'importe comment et des échanges verbeux ou tout le monde attend que le personnage ait fini sa tirade avant de bouger (y compris quand on sait très bien ce qui se passe et ce qui va se passer) vous serez heureux et stupéfaits d'apprendre que la guerre, c'est mal, et que quand on envahit des pays, des fois les civils meurent et souffrent, même qu'à cause de ça y a des petites filles qui se retrouvent orphelines. Au bout du compte, on n'en sait pas lourd sur les motivations des pays ennemis ni sur leurs magies respectives (ce qui devrait pourtant être très important) et la relation entre Valvatorez et Artina n'est pas beaucoup mieux traitée. On s'en tient à une maigre poignée de vannes échangées, quelques allusions sexuelles d'une subtilité navrante (les mots ne sont pas écrits en toutes lettres mais faut avoir moins de sept ans pour ne pas les percuter) et comme avec son DLC dédié, le Tyran Valvatorez naïf, empoté et borné n'a pas une once du charisme qu'il avait dans ses deux apparitions du jeu de base. Il est même plus impressionnant et fiable dans sa version amoindrie du présent que dans le passé à son apogée.

Bref, passons donc maintenant au second argument : les combats. Honnêtement, ils sont d'une pauvreté à faire peur. Là où Disgaea 4 avait su briller par un usage consommé des Geo Blocks pour des missions ultra-punitives qu'on peut retourner à notre avantage en déplaçant les blocs, ce scénario bonus empeste le travail de débutant, voire de stagiaire. Les ennemis, de haut niveau mais très mal stuffés, sont placés d'une manière académique au possible sur des cartes pas originales pour un sou et inutile de s'embêter à trouver des stratégies : on fonce dans le tas avec ses persos bien uppés (le trio de la mort Ad*ell, Mao et Gig en tête) et ça passe. Leur unique intérêt, c'est que ces frêles ennemis de haut niveau rapportent une décatonne d'expérience facile, ce qui est bien utile pour faire monter nos unités au niveau 300+.

Ultime et dernier argument à jeter : les deux personnages exclusifs au scénario, Nagi et Artina. Je ne les ai pas utilisées car elles ne sont pas intéressantes. Nagi peut apprendre quelques techniques de combat et a des Evilities plutôt impressionnantes mais outre ses statistiques à la traîne, elle n'a pas de Weapon Forte, ce qui en fait un perso très déséquilibré. L'envoyer au front serait un suicide, mais elle est pensée pour ça. Grosso modo faut juste l'appeler et la laisser dans un coin pour profiter de son Evility. Artina, quant à elle, est une soigneuse d'une efficience à toute épreuve, mais n'a strictement aucune compétence d'arme et ne peut se battre qu'avec deux skills "signatures" (basés sur la Résistance donc d'une puissance potentiellement faramineuse). Autant dire que l'idée de la garder à un niveau correct est à proscrire puisque les healers de Disgaea ne tiennent la distance que si on leur file des arcs.

Non, vraiment, ce scénario bonus n'a rien pour lui. Il n'est pas intéressant, jamais surprenant, jamais émouvant, son challenge ne laisse aucune place à la réflexion, et ses personnages exclusifs sont un gâchis monumental. Tout cela est désolant quand on pense que Disgaea 3 : Absence of Detention nous offrait un scénario exclusif d'une qualité largement supérieure à tous les niveaux, plus les personnages de Rutile (cogneuse/soigneuse qui ne se hisse au top ni de l'un ni de l'autre, mais qui s'avère très utile de par sa double étiquette) et Stella (épéiste/magicienne typée Feu, pas dégueu à jouer et dotée d'un bon crowd control).

Je reste donc sur mon idée que Disgaea 4 : A Promise Revisited est une bonne introduction à la série (même si je recommanderais plus aux curieux de commencer par Afternoon of Darkness) mais il faut s'arrêter à faire une fois l'histoire principale. Les bonus ne servent qu'à mettre en lumière des défauts qui n'en étaient pas jusque-là, alors que les bonus de Disgaea 3 mettait en place des situations bien plus surprenantes et intéressantes qui n'hésitaient pas à casser les codes des personnages pour surprendre agréablement le joueur.

Modifié par Wolf, 15 March 2017 à 08:49.

[kenjitenma]

Fini Zelda Breath of the wild sur Switch

Breath of the wild est pour moi exceptionnel tous au long de l'aventure mais malheureusement la fin n'est pas à la hauteur du chemin parcouru. Il lui manque également un Bad guy plus approfondi. Ganon est juste une menace maléfique que l'on dois exterminé point.
J'aurai également aimé avoir de vrai donjon à parcourir. Les 4 donjon du jeu se parcourt très vite.

+Un monde vaste et vivant
+énormément de contenu
+la direction artistique
+les sanctuaire

-déplacement à cheval rigide
-boss trop facile (y compris le boss final)

19/20

[Pezam]

Tu as débloqué quelle fin?